A bientot, ailleurs.
Je croyais marcher au milieu de l'agencement bizarre et des flaques vides, mais un écho dur éclairait longuement mon chemin et rebondissait contre les façades, un pas à la fin comblait l'attente de cette nuit vide, et je savais pour quoi désormais le décor était planté.
Julien Gracq, Le Rivage des Syrtes
2 commentaires:
péteux!
grave
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