septembre 06, 2008

A bientot, ailleurs.

Je croyais marcher au milieu de l'agencement bizarre et des flaques vides, mais un écho dur éclairait longuement mon chemin et rebondissait contre les façades, un pas à la fin comblait l'attente de cette nuit vide, et je savais pour quoi désormais le décor était planté.

Julien Gracq, Le Rivage des Syrtes